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[Enquête] Voyage au pays des black blocs

Les extrémistes de gauche peuvent se classer selon trois axes : le premier oppose les internationalistes au national-étatisme. Le second distingue les autoritaires des libertaires. De part et d’autre du troisième se répartissent les révolutionnaires et les réformistes. Les mouvements en croissance, que ce soient les black blocs ou Extinction Rebellion, sont tous internationalistes, libertaires et révolutionnaires. À l’inverse, les organisations plus anciennes en déshérence, comme la CGT, Attac ou SOS Racisme, ne cochent qu’une ou deux des trois cases.

Pour être plus précis, dans Les grammaires de la contestation (La Découverte, 2010), la sociologue Irène Pereira a dégagé trois courants politiques pour classer les extrémistes de gauche. Le premier est républicain-social et traite de citoyenneté, démocratie participative et autre internationalisme humaniste, le tout souvent teinté d’écologie. Extinction Rebellion ou Greenpeace appartiennent à cette famille. Ainsi que ceux qui blessent les chiens ou les chevaux de chasse pour sauver des sangliers. Les actions sont conçues pour faire parler d’elles dans les médias.

Lire aussi : Enquête : Extinction Rebellion, tout dégrader pour le climat

Le second courant s’appuie sur la notion de « minorités » (femmes, racisés, homosexuels, prisonniers, etc). Il s’incarne dans les luttes sociales et culturelles pour la « dignité », notion qui a pris un essor politique considérable au cours de la dernière décennie. Là encore, la violence est réelle mais vise surtout à générer un écho médiatique. [...]

[Enquête] Extinction Rebellion : tout casser pour le climat

Extinction Rebellion, familièrement nommé « XR », est le nom d’une campagne menée en 2018 et 2019 par l’association anglaise activiste Rising Up. Cette dernière avait été créée en 2016 par un groupe de radicaux proches de deux organisations : l’association britannique Earth First, des écolos extrémistes soupçonnés d’attentats dans les années 90, et le mouvement américain « Occupy Wall Street » d’extrême gauche. Extinction Rebellion a produit une synthèse des deux en formulant trois demandes impératives. La première est que les gouvernements du monde entier doivent déclarer l’état d’urgence climatique. La deuxième est que les émissions de carbone de la planète soient nulles d’ici 2025. La troisième concerne la création d’assemblées citoyennes pour « la justice écologique et climatique ». En bref, on arrête l’industrie, la production d’électricité et même les États. Le mouvement considère que tout le monde ne porte pas la même responsabilité dans le réchauffement climatique. C’est pourquoi XR lutte aussi pour mettre fin à la domination des hommes blancs sur le reste du vivant.

Le site français de XR est une mine de renseignements et de méthodes pour organiser une cellule locale, préparer clandestinement des actions, créer des affiches professionnelles

La campagne Extinction Rebellion de 2019 a fait du bruit. Des militants ont déversé du faux sang dans les rues de Londres au moyen d’un vrai camion de pompier. Un autre s’est collé avec de la colle très forte aux grilles de l’entrée de Downing Street. Les cinq ponts principaux de la ville ont été bloqués. Les locaux de Greenpeace et de la BBC ont été occupés. Pendant onze jours, XR a créé du chaos et il a fallu pas moins de 10 000 policiers pour y mettre fin en embarquant des centaines d’activistes, dont c’était le but. XR a pour objectif de faire plier les gouvernements en les mettant en demeure d’arrêter et d’enfermer des centaines de milliers, si ce n’est des millions de gens. Parmi les cofondateurs d’Extinction Rebellion se trouvent des professeurs d’université spécialistes des mouvements non-violents de résistance civique. Issu de l’université, le mouvement a reçu ses premiers soutiens du monde scientifique. Une centaine d’entre eux, essentiellement au Royaume-Uni, ont signé un texte au démarrage d’XR. Parmi les signataires se trouvait un ancien archevêque de Canterbury. Aux États-Unis, ils sont soutenus par le sénateur socialiste Bernie Sanders et une poignée de célébrités activistes d’ultra-gauche. [...]

[Enquête] Twitter, la nouvelle bataille d’Elon Musk

Elon Musk a cofondé en 1998 l’application de paiement sur internet Paypal, rachetée par eBay quatre ans plus tard. À cette occasion, l’entrepreneur a encaissé vingt millions de dollars, aussitôt réinvestis dans une nouvelle aventure du nom de Tesla, dont les premiers dividendes ont financé le lancement de SpaceX, qui concurrence ArianeEspace. Désormais, la fortune de l’homme d’affaires est estimée à plus de 260 milliards de dollars. Il est l’homme le plus riche du monde. Il peut se permettre d’offrir 43 milliards de dollars pour racheter 100% des actions de Twitter, dont il détient déjà 9%, puis le retirer de la bourse. Or, vu des œillères gauchistes, Elon Musk est affligé de nombreuses tares.

Diagnostiqué du syndrome d’Asperger, Musk dit ce qu’il pense. Par exemple, il est inquiet que les robots puissent un jour supplanter l’homme. Il se méfie aussi des dégâts que pourraient commettre les intelligences artificielles. Dans une Californie abandonnée au transhumanisme, c’est presque un crime de lèse-majesté. Certes, il a quitté son poste de conseiller du président des États-Unis Donald Trump quand celui-ci a quitté l’accord de Paris sur le climat. Mais ce retrait a rappelé qu’il était un gros donateur du Parti républicain. Et puis il a clairement pris position en faveur du nucléaire. Enfin, il critique régulièrement Joe Biden, avec des allusions grinçantes sur la sénilité du chef d’état américain. En 2021, le divorce fut consommé avec ses pairs de la Silicon Valley : Musk a déménagé le siège social de Tesla de la Californie vers le Texas. Au passage, il s’est crêpé le chignon au sujet de la Covid avec les responsables de la collectivité californienne où il était implanté, ce qui a donné lieu à des échanges d’invectives sur Twitter, assorti de poursuites judiciaires. [...]

[Enquête] Jean-Luc Romero-Michel, articulo mortis

Pendant la décennie 2000, M. Romero mise sur le SIDA et tente de s’implanter à Paris. En 2004, Jean-Pierre Raffarin fait de la maladie une cause nationale et le nomme président d’un machin sur le sujet. Pour l’implantation parisienne, c’est moins brillant: l’UMP lui préfère d’autres têtes de liste. Alors il entame un mouvement sinistrogyre. En 2007 il appelle à voter Bayrou. En 2008, il soutient Delanoë. En 2009, il rejoint le parti socialiste. Il est réélu conseiller régional sur la liste parisienne d’Anne Hidalgo. Elle l’intègre à sa propre équipe de campagne en 2014 à la mairie de Paris. Il devient maire-adjoint du XIIe , en charge de la culture. En 2015, il est encore réélu conseiller régional. En 2020, il monte d’un cran: maire-adjoint d’Hidalgo, en charge des droits humains.

En 2005, il avait trouvé un autre cheval de bataille: l’euthanasie. Il existait une association créée en 1980 pour obtenir sa légalisation, qui comptait plusieurs milliers de membres. Ils payaient tous leur cotisation. Ses troupes sont à peu près les mêmes que celles de La Libre Pensée, de la Ligue des droits de l’homme et de la Fédération française de l’ordre maçonnique. L’entregent de Romero permet à l’ADMD d’obtenir en 2006 l’agrément de représenter les usagers au sein des conseils d’administration des hôpitaux. Le ministre de l’époque est un certain Xavier Bertrand, qui n’a jamais fait mystère de son appartenance à la franc-maçonnerie. En novembre 2006, la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) s’étrangle dans La Vie: « L’ADMD a un gros pouvoir de lobbying, y compris dans l’administration [...] Depuis quelques années, elle s’est encore radicalisée et ne rate pas une occasion de dire que les soins palliatifs coûtent cher ». En 2007, Romero prend la présidence de l’ADMD. Avec l’aide de son conjoint, Christophe Michel, plus jeune que lui de 28 ans et qu’il fait embaucher en 2012 comme secrétaire général, il fait monter l’association en puissance. Elle revendique aujourd’hui 70 000 adhérents. En 2015, pour verrouiller son pouvoir, Jean-Luc Romero modifie les statuts. Cela crée des remous. [...]

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[Enquête] Emmanuel Macron, celui qui n’aimait pas les enfants

Depuis qu’il est élu, les enfants meurent plus. La mortalité infantile augmente en France et c’est gravissime pour un État. Nous sommes un cas unique dans tout le monde occidental. Au sein de l’UE, nous étions quatrièmes ou cinquièmes. Désormais, nous sommes en 22ème position, avec un taux équivalent à la Pologne et proche de celui de la Grèce au pire de la crise d’austérité provoquée par les mesures imposées par le FMI. Cette mortalité est en hausse dans quasiment toutes les régions de France. Elle n’est donc pas compatible avec une explication de type environnementale. Pour les bébés d’un mois, la hausse est spectaculaire. La France avait le plus faible taux de mortalité néonatale au milieu des années 1990, ex-aequo avec la Suède. Depuis 2012 jusqu’à 2019, le taux de mortalité néonatale a augmenté sans discontinuer, passant de 2,2 décès pour 1 000 naissances à 2,7 décès (soit le niveau du début des années 2000). Nous sommes au même niveau que 20 ans auparavant, malgré les progrès médicaux. Le taux de mortalité néonatale de la France est désormais le 20ème dans l’UE des 28. Seule la Grèce a connu une hausse plus marquée sur la période. La mortalité infantile en France est actuellement supérieure de 50% à celle de l’Espagne alors que nos taux étaient encore identiques il y a douze ans. Si nous étions restés au même taux que l’Espagne, quelque 3 500 bébés auraient survécus pendant le mandat d’Emmanuel Macron.

Lire aussi : Enquête : Disney, ceux qui vivent de nos enfants

Grâce à lui, les enfants se sont éloignés de la condition de personne humaine, pour se rapprocher de celle d’objet. Sa loi sur l’adoption a, dans les faits, augmenté le droit des adultes à adopter, quel que soit leur statut marital. Adopter est devenu une revendication de non-discrimination entre couples mariés, partenaires ou concubins. Pour rappel, le nombre de candidats à l’adoption (10 676 disposent d’un agrément) est très supérieur au nombre d’enfants adoptés. En 2018, environ 650 pupilles de l’État ont été adoptées et 615 enfants recueillis dans le cadre de l’adoption internationale. Cela méritait d’ouvrir l’adoption à n’importe qui. [...]

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[Enquête] Disney, ceux qui vivent de nos enfants

Fondé en 1929 par un visionnaire ayant anticipé l’avènement de l’ère du divertissement, l’empire Disney règne sans partage sur « l’industrie du rêve » (sic). Mickey vit de nos enfants. Cela ne lui suffit plus : il veut les éduquer, quitte à forcer les parents.

Fin mars, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a promulgué une loi interdisant aux professeurs d’enseigner aux enfants de maternelle et de primaire l’idéologie woke. Cela a déclenché la colère des LGBT, qui a entraîné une réaction de Disney, lequel a publiquement condamné cette loi et décidé de réorienter ses soutiens financiers aux politiques pour qu’ils soient « plus en conformité » avec ses valeurs. Disney est très présent en Floride, via l’un de ses parcs géants qui existe grâce à un statut spécial. En droit floridien, il est considéré comme une ville à part entière. Disney World signe ses propres arrêtés municipaux, définit son PLU, etc. Cette facette de l’empire montre le statut exceptionnel de Disney aux États-Unis et son ancrage dans l’imaginaire populaire et politique.

Lire aussi : Enquête : Macron et les progressistes contre la légitime défense

Disney est un titan. Il détient des théâtres, des parcs d’attractions, des cinémas, des chaînes de télévision, des studios de cinéma et d’animation, des services de vidéos à la demande, des éditeurs de musique, des festivals, etc. Avec un chiffre d’affaires 2020 de 65 milliards de dollars, 200 000 employés et un bilan de 200 milliards, le monstre se porte comme un charme. En soixante ans, il a avalé tout ce que les États-Unis ont fait émerger de talents ou de créativité, pour les transformer en produit de consommation de masse. Il est plus simple de se demander combien de Terriens n’ont accès à aucun moyen audiovisuel, qu’essayer de calculer le nombre des clients directs ou indirects de Mickey. Le géant appartient à tout le monde et à personne. Les neuf premiers actionnaires, les seuls qui détiennent chacun plus de 1% des actions, sont des fonds d’investissement. Ensemble, ils possèdent 23% de l’empire. Le reste est flottant. Comme nombre de très grandes entreprises américaines, Disney a été contaminé par l’extrême gauche à partir de son introduction en bourse par les descendants du fondateur. Après des décennies de promotion de la famille naturelle, Disney a décidé de trahir ses valeurs et ses clients, en se mettant à promouvoir l’inverse. Sauf que Mickey est très dangereux. [...]

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[Enquête] McKinsey, les techniciens des puissants

La société McKinsey a été fondée en 1926 par James O. McKinsey. L’idée lui vint lorsque, étudiant en comptabilité à Chicago, il fut mobilisé en 1917 par l’armée américaine au sein du département des matériels et des munitions, avec mission de faire le tour des industriels impliqués dans l’effort de guerre. Il fut effaré par ce qu’il vit : absence d'organisation, direction dépassée par les commandes, livres mal tenus etc. Les patrons de l’époque ne s’occupaient pas de leur tambouille interne, qui commençait à être impactée par l’augmentation des normes. McKinsey prit cela pour un manque de gestion. Après la guerre il devint professeur de comptabilité à l’université et inventa une méthode pour appréhender la totalité de la situation d’une entreprise en analysant son organisation, ses finances, ses achats, ventes, etc. Il créa la société pour commercialiser cette méthode. Il termina sa carrière à la tête de son plus grand client. Près d’un siècle plus tard, McKinsey est une réussite, avec 130 bureaux dans 65 pays, 30 000 employés, plus de 34 000 anciens employés et presque autant de dirigeants, dont 13 des 50 plus grands groupes américains. Le groupe ne publie pas son chiffre d’affaire, mais il a été estimé en 2019 par Forbes à 10,5 milliards de dollars.

Désormais McKinsey est un conseil en stratégie. Ses hommes interviennent en amont d’une prise de décision, ou en aval pour aider à son application. Si vous êtes dans les affaires, McKinsey ne vous apportera pas le début du commencement d’une idée originale. Mais, en appliquant leur méthode, ils vous diront comment votre entreprise peut améliorer son rendement. Ce sont des techniciens pointus. C’est pourquoi il est beaucoup question de valeurs chez McKinsey, qui les collectionne : diversité, inclusion, racisme antiblanc, tout y est, à condition qu’elles ne soient pas morales. [...]

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[Enquête] La déclaration de patrimoine d’Emmanuel Macron (2/2)

Sa première déclaration publiée datait de 2014, quand il avait été nommé ministre de l’Économie. À cette occasion, il avait révélé avoir touché plus de 3,3 millions entre 2010 et 2013, grâce à ses revenus issus de la banque Rothschild et à son traitement de secrétaire général adjoint de l’Élysée. Le montant de ses revenus a étonné. En tant qu’associé-gérant de Rothschild, son seul bonus pour le deal Nestlé-Pfizer à 11,9 milliards de dollars aurait dû lui rapporter plusieurs dizaines de millions. L’Incorrect a consulté plusieurs banquiers d’affaires. Pour eux, Macron n’a pas menti sur ses revenus, car, dans la réalité, son rôle s’apparentait plus à celui d’un « senior advisor », chargé de trouver des clients, avec un très gros salaire et peu de bonus. Mettons donc qu’il n’ait touché que 3,3 millions entre 2010 et 2013.

Or, son patrimoine de 2014 était constitué de liquidités à hauteur de 195 000 euros et de biens acquis avant 2010. Qu’étaient devenus les 3,3 millions ? La question affola les réseaux, jusqu’à ce que l’équipe Macron répondît que les impôts avaient englouti 1,5 million, et que le président avait effectué pour 500 000 euros de travaux dans la maison de Brigitte, qui ne lui appartient pas, et aussi 250 000 dans un appartement parisien, vendu ensuite. Le bien était alors estimé à 890 000 euros. La somme issue de la vente, et les 1 350 000 euros qui restaient des 3,3 millions ont tout simplement été engloutis dans ses dépenses quotidiennes. D’après le JDD du 19 mars 2017 qui citait l’un de ses proches, il vivait alors « sur un grand train de vie ». D’après nos calculs, pendant cette période, Emmanuel Macron a claqué 2 000 euros par jour. À un niveau moindre, il a continué de dépenser à l’Élysée. [...]

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L’Incorrect numéro 61

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